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Lundi, alors que je m’envolais pour Londres pour notre assemblée générale annuelle, j’ai lu dans un bulletin qu’il est nécessaire de laisser derrière eux ceux qui, sur le chemin de l’atteinte de vos objectifs, ne vous laissez pas aller de l’avant, ceux qui vous ralentissent ou ralentissent vos progrès. Cet argument a été appuyé par une entrevue avec Michelle Obama dans laquelle elle a comparé sa course à la Maison Blanche à l’ascension de l’Everest et dans laquelle elle a confirmé qu’ils devaient laisser derrière eux tous ceux qu’ils ne pouvaient pas porter au sommet…

Lundi, alors que je m’envolais pour Londres pour notre assemblée générale annuelle, j’ai lu dans un bulletin qu’il est nécessaire de laisser derrière eux ceux qui, sur le chemin de l’atteinte de vos objectifs, ne vous laissez pas aller de l’avant, pas plus tard que cet été, j’ai grimpé de 3 000 pieds avec des amis et, lorsque mes forces faiblissaient, le leader ralentissait le rythme pour que nous puissions tous continuer. Il a été répété encore et encore que dans la montagne, vous ne laissez jamais personne échoué sur le chemin.

Pourquoi avons-nous développé ce désir de nous rendre aux premières places, de nous sentir dignes de succès sans tenir compte de tous ceux que nous rencontrons en cours de route et de nous enorgueillir du fait que nous devons laisser tomber ceux qui « n’étaient pas prêts »?

Grandir en faisant grandir les autres. Je préfère cette affirmation. Ceci est suggéré par Alexandre Havard, diffuseur et créateur du Système de Leadership Vertueux. Je crois fermement que c’est naturel chez les êtres humains parce que grâce à cela nous parvenons à nous développer. C’est ce qui est propre à la maison. Nous grandissons grâce à l’impulsion de nos parents, frères et sœurs, grands-parents, qui à leur tour grandissent avec nous. Combien de temps un bébé survit-il si nous l’abandonnons dès sa naissance? En effet, il n’est pas prêt à gravir la montagne, mais on ne penserait jamais à la laisser seule. Si nous apprenons à grandir ensemble dans nos maisons, qu’est-ce qui ou qui influence notre expérience vécue pour nous faire changer d’avis?

Havard dit qu’il y a un manque de gens magnanimes dans notre société. La magnanimité, selon le dictionnaire, signifie clémence ou bienveillance, et que j’oserais traduire dans un langage du XXIe siècle comme empathie et considération pour les autres.

Angela de Miguel-Director of Communication Human renaissance Foundations.

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