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Abstract
For most adults, household chores are undesirable tasks, yet need to be completed regularly. Previous research has identified absolute hours spent on household chores and one’s perceived fairness of the housework distribution as predictors of romantic relationship quality and well-being outcomes. Drawing on Equity Theory, we hypothesized that perceived fairness acts as an underlying psychological mechanism linking household chores hours to long-term effects of relationship quality, well-being, physical health, and sleep quality in a sample of 2,644 married and cohabiting adults from the Midlife Development in the U.S. (MIDUS) study. Additionally, following the Reserve Capacity Model, socioeconomic status (SES) was tested as a moderator because of its association with exposure to stressors and psychological resources which contribute to perceived fairness. Moderated mediation results showed significant indirect effects of household chores hours through perceived fairness on prospective measures of well-being, marital quality, physical health, and sleep dysfunction among individuals of lower SES, but not higher SES when controlling for age, sex, and paid work hours. These results highlight the importance of perceived fairness and the influence of SES in the links among household chores and long-term relationship processes, health, and well-being.
In summary, household chores are necessary tasks but perceiving the amount of time spent on these tasks as unfair can produce long-term negative consequences on health, well-being, and relationship quality. A key contribution of this study stems from introducing participants’ socio-economic status as a factor to determine specifically who are more likely to perceive household chores hours as unfair. Daily stress and depleted psychological resources may be necessary to understand why perceived fairness differs according to socio-economic status and may help marital intervention researchers develop specialized intervention strategies for couples across the socioeconomic spectrum. We hope that this research will open up other avenues for future work on how psychosocial processes and outcomes differ between social classes.
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Résumé
Pour la plupart des adultes, les tâches ménagères sont indésirables, mais doivent être accomplies régulièrement. Des recherches antérieures ont identifié les heures absolues consacrées aux tâches ménagères et la perception de l’équité de la répartition des tâches ménagères comme des prédicteurs de la qualité de la relation amoureuse et des résultats en matière de bien-être. En nous appuyant sur la théorie de l’équité, nous avons émis l’hypothèse que l’équité perçue agit comme un mécanisme psychologique sous-jacent reliant les heures consacrées aux tâches ménagères aux effets à long terme de la qualité de la relation, du bien-être, de la santé physique et de la qualité du sommeil dans un échantillon de 2 644 adultes mariés et cohabitants de l’étude Midlife Development in the U.S. (MIDUS). En outre, selon le modèle de la capacité de réserve, le statut socio-économique a été testé en tant que modérateur en raison de son association avec l’exposition aux facteurs de stress et aux ressources psychologiques qui contribuent à la perception de l’équité. Les résultats de la médiation modérée ont montré des effets indirects significatifs des heures de tâches ménagères par le biais de l’équité perçue sur des mesures prospectives du bien-être, de la qualité du mariage, de la santé physique et du dysfonctionnement du sommeil chez les personnes de statut socio-économique inférieur, mais pas supérieur, après contrôle de l’âge, du sexe et des heures de travail rémunéré. Ces résultats soulignent l’importance de l’équité perçue et l’influence du statut socio-économique dans les liens entre les tâches ménagères et les processus relationnels à long terme, la santé et le bien-être.
En résumé, les tâches ménagères sont nécessaires, mais le fait de percevoir le temps consacré à ces tâches comme injuste peut avoir des conséquences négatives à long terme sur la santé, le bien-être et la qualité des relations. L’une des principales contributions de cette étude réside dans l’introduction du statut socio-économique des participants comme facteur permettant de déterminer spécifiquement qui est le plus susceptible de percevoir les heures consacrées aux tâches ménagères comme injustes. Le stress quotidien et l’épuisement des ressources psychologiques peuvent être nécessaires pour comprendre pourquoi la perception de l’équité diffère selon le statut socio-économique et peuvent aider les chercheurs en intervention conjugale à développer des stratégies d’intervention spécialisées pour les couples à travers le spectre socio-économique. Nous espérons que cette recherche ouvrira d’autres voies pour de futurs travaux sur la manière dont les processus et les résultats psychosociaux diffèrent entre les classes sociales.