The Other Half est un nouveau centre de recherche pour une politique pratique et réalisable dans l’intérêt des femmes.
Il s’agit d’un nouveau groupe de réflexion non partisan, basé au Royaume-Uni. Il explore les options politiques qui fonctionnent pour les femmes. Il stimule la réflexion politique générale qui intègre les intérêts des femmes dès le départ, envisage des changements dans l’ensemble du système et représente correctement la richesse et la réalité de la vie moderne. Leur travail couvre la vie publique, la justice et la famille.

La mission

Les féministes ont accompli de grands progrès au cours des cent dernières années, mais il reste encore beaucoup à faire. Les femmes restent sous-représentées dans la vie publique ; de nombreuses femmes vivent dans la précarité financière en raison de leur rôle de mère et d’aidante ; et les femmes sont toujours victimes de violences et d’abus sexuels.

Une grande partie de la pensée politique dominante est encore éloignée de la réalité de la vie des femmes ordinaires. Notre approche est différente. Nous envisageons des changements dans l’ensemble du système : les intérêts des femmes devraient être au cœur de l’élaboration des politiques, et non une réflexion après coup. Nous reconnaissons que les femmes ne constituent pas un groupe unique : elles représentent la moitié de la population du pays et ont un large éventail de valeurs et de priorités. Et nous nous concentrons sur ce qui fonctionne, en nous appuyant sur des décennies de travail pour identifier les options politiques susceptibles d’apporter un réel changement.

Les valeurs

Répondre aux préoccupations des femmes britanniques, dans toute leur diversité.
Une grande partie de la pensée politique dominante est éloignée de la réalité de la vie des femmes aujourd’hui. Les femmes au Royaume-Uni sont particulièrement préoccupées par la criminalité et la sécurité, le coût de la vie et le bien-être des enfants. Nous pensons que ces préoccupations doivent être prises au sérieux.

Dans le même temps, la pensée politique doit s’adapter aux évolutions du 21e siècle. Dans le passé, le développement technologique a été à la fois utile et nuisible aux intérêts des femmes. À quoi ressemble le féminisme à une époque où le monde du travail est fondamentalement modifié par l’IA, où des contenus violents peuvent être consultés en ligne à tout moment et où de nouvelles formes de procréation assistée, telles que la maternité de substitution et la congélation d’ovules, gagnent rapidement en popularité ?

Valoriser la maternité.
80 % des femmes britanniques seront mères ; la plupart des gens déclarent que passer du temps avec leur famille est l’une des choses les plus importantes de leur vie. Nous devons réfléchir sérieusement à la manière dont la maternité, les soins et les familles peuvent être associés à la vie publique, au lieu d’être relégués à la marge.

Croire au potentiel de tous les êtres humains.
Les hommes et les femmes peuvent apporter une contribution précieuse à la société : à la maison, sur le lieu de travail, dans la politique, les arts et les sciences. Nous voulons construire une société où toutes ces contributions sont encouragées, quel que soit le sexe.

Promouvoir des sociétés connectées.
Les économies modernes traitent les gens comme des individus atomisés, mais en réalité, nous dépendons tous des autres à un moment ou à un autre de notre vie. Les relations avec les autres, dans nos familles et nos communautés, sont importantes pour nous ; nous sommes tous liés les uns aux autres. Les soins, la dépendance et les relations humaines devraient être au cœur de la réflexion politique.

Un optimisme prudent à l’égard des nouvelles technologies.
Nous sommes optimistes quant à la capacité de la technologie à améliorer la vie des gens. Mais nous ne partons pas du principe que tout développement technologique sera automatiquement positif pour tout le monde ; nous devons prendre en compte les intérêts des personnes les plus vulnérables de la société lors de l’adoption de nouvelles inventions.

Les personnes

• Fiona MacKenzie MBE est une actuaire avec une expérience dans le changement d’entreprise et de technologie dans la ville. En 2018, elle a fondé la campagne We Can’t Consent To This, une réponse à la normalisation de la violence contre les femmes et les filles. Pour ce travail, elle a été récompensée par un MBE. Fiona est également trésorière du Centre pour la justice des femmes.
• Louise Perry est journaliste et auteur. Son premier livre, The Case Against the Sexual Revolution, a été publié en 2022. Louise est rédactrice d’articles de fond pour le Mail, et son travail se retrouve également dans le New Statesman, le Times, le Spectator et UnHerd.
• Olivia Robey est une spécialiste des politiques, qui a notamment conseillé le gouvernement britannique dans sa lutte contre la violence à l’égard des femmes et des enfants. Olivia travaille également avec les responsables de la police au niveau national sur la protection et la vulnérabilité.
• Ellen Pasternack a récemment obtenu un doctorat en biologie évolutive à l’université d’Oxford. Ses écrits sur les questions féministes dans une optique biologique sont publiés dans The Critic, UnHerd, The Spectator et New Statesman.

Les bailleurs de fonds

Nous sommes une association à but non lucratif.

The Other Half a reçu un financement d’Emergent Ventures, un programme de subventions et de bourses du Mercatus Centre de l’université George Mason.